Cher journal, 19 mai 2oo9 .

Hier soir, je me suis endormie devant une feuille blanche et quand j'ai pris la peine d'ouvrir les yeux, tout était écrit de A à Z de ma vie en commençant par toi.

Elle racontait le soir où l'on sait parlé pour la premiére fois, la premiére phrase que tu mets dite et le premier sourire que tu m'ais fait. C'était charmant, jusqu'au moment où cà parler d'une histoire d'amour...

Elle disait....

C'était un jour de soleil, je venais de prendre o3hoo infernales de train impulsives avec une chaleur approchant les 25° à o8h30 du matin. J'avais une boule au ventre je n'avais jamais ressenti celà à aucuns moments de ma vie. Le temps était long dans ce train, j'avais autant hâte d'y être que de peur en voyant les minutes passées sur l'écran de mon portable. Ah! J'ai oubliée de vous dire, je vais à Dinant aujourd'hui, rencontrer l'homme qui pourrait être celui dont j'ai toujours rever. ll est 10ho9, encore trente minutes et j'y suis ! J'en profite pour remettre un peu de parfum, me recoiffer, prendre un scheewingum et vérifier que je sois présentable quand je sens vibrer sur la table mon téléphone.

Vous avez un nouveaux message de " Benjamin =) " .

J'ai oubliée de vous dire, il s'appel Benjamin D. , 2o ans, grand, brun à lunette. Il est adorable et super gentil avec moi. Il parait qu'il m'aime ? Soit, revenons à notre message  :   

" Bonjour toi, j'espere que ton voyage ce passe bien, je t'attend devant la gare, tu sais comme elle me terrifie. Je t'embrasse très fort. "

Mon coeur palpite et fait des drôles de mouvements dans ma poitrine, j'adore cette sensation : " Le stress" . C'est la peur, celle de pouvoir le toucher et l'approcher, de pouvoir le sentir, le regarder  de pouvoir lui dire que je l'aime..

10h39, le train arrive à Dinant. Dans mes oreilles:

" De trein met bestemming Dinant in het station bennin ". Merci la SNCB !

Je sors du train, descent les escaliers pour les remonter un peu plus loi et j'entre dans la gare. J'ouvre la grand porte discretement et regarde dehors. Il est là, dos à moi, les cheveux ébouriffé de gel avec une jolie chemise blanche, grand, ellancé et mince. Mon dieu !  Il est magnifique.      Je m'avance et je tapotte son épaule, il se retourne brusquement et sans savoir que faire je lui saute au cou. J'ai à peine eu le temps de fermer les yeux dans ces bras,de sentir son odeur que mon reveil sonna devant moi une page blanche, sur laquelle était écrit:    

"Quand je le verrais pour la premiére fois, cà sera le plus beau jour de ma vie. "